Climat : la tech suscite l’espoir des Français

La technologie face au réchauffement du climat : quelle est la position des Français ? Retrouvez la réponse d’Yves CENSI dans son intégralité à l’occasion de la publication du replay sur BFMTV !
 
Confrontée à la menace des changements du climat, l’#innovation est l’un des principaux leviers de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Qu’il s’agisse d’énergie renouvelable, de voitures électriques ou de toutes les formes d’efficacité énergétique, les #technologies à faibles émissions de carbone couvrent un large éventail de secteurs. Celles-ci offrent ainsi plus d’espoir aux populations qui ont confiance en la tech verte pour répondre aux défis de la transition climatique et énergétique.  
 
Comme chaque mois, Mascaret (anciennement Dentsu Consulting) avec ses partenaires ODOXA et Leyton, présentent un baromètre politique analysant l’opinion des Français sur l’un des sujets phares du débat public. Dans cette étude on apprend que les Français attentent beaucoup du monde de l’innovation et de la tech. Pour 72% des interrogés – soit 5% de plus qu’il y a deux ans – des progrès technologiques ont été réalisés. C’est sans aucun doute l’un des sujets les moins polémiques et les moins clivants en France. 

Yves CENSI, Senior Partner Mascaret, Emile Leclerc, directeur d’études chez ODOXA et Alexandre Charles Touret, directeur marketing pour Leyton France, ont abordé le thème « Climat : la tech suscite l’espoir des Français » dans l’émission Tech & Co Business présentée par Frédéric Simottel.
 

CLIQUEZ ICI

Lire plus

Conjuguer souveraineté économique et liberté économique : la tribune de Benjamin Grange pour Forbes

Benjamin Grange, Senior Partner chez Mascaret (anciennement Dentsu Consulting) a publié une tribune dans Forbes France le 19 juillet 2022. Celle-ci porte sur la relation entre la souveraineté économique et la compétition économique. 

En effet, alors que l’on parle de démondialisation, la souveraineté économique des États interfère de manière croissante dans le jeu de la libre concurrence. 

Selon Benjamin Grange, « Sans définition commune en Europe, et sans doctrines d’intervention nationale réellement publiques, le cadre de l’action donné aux acteurs économiques reste incertain, générant un risque pour celui qui veut agir sans froisser, se déployer sereinement ».  

#business #économique #souveraineté #liberté #entreprise 


Concept de plus en plus en vogue à l’heure où l’on parle de démondialisation, la souveraineté vient interférer dans le jeu de la libre concurrence en créant une incertitude de plus pour les acteurs économiques.

Dans un monde où la compétition économique est la norme, le jeu de la concurrence pure et parfaite est parfois dévoyé par des pratiques tacites ou implicites qui faussent le jeu concurrentiel dans des proportions qui nuisent à l’économie d’un pays, à sa souveraineté ou à la sécurité de sa population. Prenons la start-up XYZ qui s’illustre dans une technologie avancée (spatiale, quantique, cybersécurité, biotechnologie…). Elle cherche aujourd’hui plus de 100M€. Plusieurs fonds non Européens l’approchent avec au-delà du financement, des velléités de récupération de la technologie. Sous couvert d’un financement, il s’agit en fait d’un acte de prédation économique, souvent caractérisé après coup.

Dans un autre registre, on assiste depuis la fin des années 90 à une prolifération de lois à portée extraterritoriale, notamment d’origine américaine. La procédure « Discovery » offre à toute partie à une action en justice portée devant un tribunal non-américain la possibilité d’obtenir, du juge américain, la production forcée d’éléments de preuves détenues par toute partie se trouvant sur le territoire américain, à condition que les éléments de preuve en question soient destinés à être utilisés pour les besoins de la procédure étrangère. Il n’en faut pas plus pour servir de levier d’intelligence économique en demandant la production de toute ou partie de documents ou informations protégés normalement par le secret des affaires. Devenu un instrument de la politique étrangère américaine, cet abus de lois à portée extraterritoriale a pris de l’ampleur après 2001. Sur les 26 entreprises condamnées : 14 entreprise européennes et 5 françaises. Aucune société chinoise ou russe n’a fait l’objet de condamnation.

Un constructeur automobile français qui vendait près de 450 000 véhicules en Iran cède à l’injonction de l’administration Trump qui menace de représailles les entreprises étrangères faisant affaire avec Téhéran ; à savoir des sanctions pécuniaires et une éviction du marché américain.

On comprend dès lors l’émergence du concept de souveraineté industrielle et technologique. Proche de la sécurité économique, il se définit comme la matérialisation d’une politique d’État visant à protéger et à promouvoir les intérêts stratégiques d’une nation. Employé très largement, voire trop depuis le début de la démondialisation, il regroupe les activités de protection du patrimoine, de délimitation des périmètres industriels et technologiques critiques et de lutte contre les activités de renseignement économique étrangères. C’est toute la difficulté liée au sujet de la souveraineté. Omasù s’arrête les pratiques de libre concurrence et quel moment commence l’acte prédation économique nécessitant d’agir ? Pour l’heure, cela reste une question d’interprétation nationale et d’état d’esprit régalien au moment où la situation se présente.  Plus le sentiment national est fort ou l’interdépendance à d’autres pays élevée, plus la volonté d’intervention d’un pays sera aigue, pour décourager a priori ou pour bloquer a posteriori. Sans définition commune en Europe, et sans doctrines d’intervention nationale réellement publiques, le cadre de l’action donné aux acteurs économique reste incertain, générant un risque pour celui qui veut agir sans froisser, se déployer sereinement. Une incertitude de plus à l’heure où l’on parle de démondialisation.

Benjamin GRANGE

CLIQUEZ ICI POUR RETROUVER L’ARTICLE

Lire plus

Premier séminaire d’Ambitious Finance

Yves CENSI, Senior Partner chez Mascaret (anciennement Dentsu Consulting) introduisait, le six juillet dernier, les panélistes appelés à débattre dans le cadre du séminaire des #décideurs en #Banque#Finance#Assurance. Ce séminaire organisé par le #thinktank indépendant Ambitious Finance et AILANCY, a accueilli de nombreux talents issus de nos partenaires Finance for TomorrowWBCSD – World Business Council for Sustainable DevelopmentNovethic et RSEDATANEWS.
 
Le séminaire s’est tenu en plusieurs étapes à la Cité Internationale Universitaire de Paris, chacune abordant différents pans des questions d’économie et de finance durable. Yves Censi présidait la toute première table ronde d’Ambitious Finance dont le thème était « Finance durable : entre accélération des enjeux pour la Sphère financière et prudence de l’action des états ». À ses côtés ont débattu nos collaborateurs Alexandre Malafaye – Fondateur de Synopia, Jean Boissinot – Secrétaire Général du Network for Greening the Financial System (NGFS) et Arnaud Dumas, Rédacteur en chef de Novethic Essentiel.
 
Pourquoi la finance durable ? Le secteur #financier joue un rôle moteur dans le fonctionnement de l’économie : les flux financiers permettent de collecter les capitaux disponibles détenus par les agents économiques ayant une capacité de #financement (généralement l’épargne des ménages) pour les mettre à disposition des agents ayant un besoin. Les différents #acteurs financiers peuvent donc activement participer à une meilleure orientation des #capitaux vers le financement d’investissement ayant un impact positif pour la société à moyen et long terme. Autrement dit, la finance durable peut être une solution intéressante pour relever les grands défis #écologiques et #économiques de notre époque !

Lire plus