La voiture électrique est-elle vraiment attractive auprès des Français ?

Pour faire suite à la publication de notre Baromètre de l’Innovation de ce mois d’octobre sur la voiture électrique, Benjamin GRANGE était sur le plateau de BFMTV pour approfondir l’analyse de nos résultats.

« Quand les Français parlent de voitures électriques, ce n’est pas un sujet comme les autres. C’est un sujet émotionnel, éminemment lié à la liberté. Aujourd’hui quand on les écoute sur les réseaux sociaux, c’est très clair : la voiture électrique, c’est formidable, mais seulement quand on est urbain ou péri-urbain. Quand on fait des longues distances, on n’y est pas du tout. Bornes, autonomie, etc. le constat est clair.

La question qui monte en ce moment en lien avec cette dynamique, et qui est liée à la conjoncture, c’est : « que vaut-il mieux acheter ? ». Les Français en parlent beaucoup : l’essence – en aura-t-on très longtemps – ou l’électrique – et ses coûts en hausse. Et comme pour d’autres sujets de mobilité (voiture électrique, trottinette électrique par exemple), la division est très profondément générationnelle : les moins de 35 ans ont des perceptions beaucoup plus positives de ces sujets et de leurs thématiques (usages, écologie, investissement) et ça influe largement sur les prises de position et les politiques publiques. »

Vous pouvez retrouver ci-dessous l’ensemble des interventions de Benjamin GRANGE sur le plateau de Tech & Co de BFM Business, présenté par Frédéric Simottel, aux côtés de nos partenaires Emile Leclerc d’ODOXA et Fabrice Catala pour Kea & Partners.

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La crise énergétique affole les réseaux

Yves CENSI, senior partner de Mascaret (anciennement Dentsu Consulting), était présent sur le plateau de Tech & Co, l’émission de BFM, pour présenter les résultats de notre baromètre innovation en collaboration avec ODOXA. Retrouvez le détail de nos analyses, ce mois-ci au sujet de la perception de la crise énergétique par les Français :

La crise énergétique affole les réseaux

Avec la fin de l’été et la baisse des températures, le spectre d’un hiver sans chauffage s’est emparé des réseaux. Sur les 13 derniers mois, on a vu un demi-million de mentions et plus de sept millions d’engagements sur le sujet de la crise énergétique. Des taux qui n’ont rien d’extraordinaire. Cependant, la moitié de ces volumes se sont faits depuis le 15 août dernier !

C’est donc une véritable explosion de conversations et débats qu’on observe : une augmentation de 500% qui trahit l’inquiétude des Français. En effet, lorsqu’on observe le détail de ces publications, on découvre que la majorité (50,6%) de ces contenus sont négatifs. C’est un taux particulièrement élevé qui n’est égalé que par d’autres moments de crises majeures : hausse des prix de l’essence, polémiques politiques…

Les Français se sentent peu en confiance

Les débats sont d’autant plus enflammés qu’ils touchent les internautes au plus près. Comme tous ont conscience des causes globales de cette situation, nombreux sont ceux qui cherchent à reprendre le contrôle de cet état de fait. Le personnel politique occupe normalement ce rôle, mais lorsque celui-ci s’exprime sur le sujet, il n’est pas le plus écouté ou relayé. Les rares moments où le public s’empare de leurs messages, c’est pour les critiquer. Notamment les annonces gouvernementales offrant des conseils de réduction de la consommation énergétique : celles-ci sont très mal reçues par les internautes, qui se sentent culpabilisés. La polémique autour des jets privés en fait foi : avec une hausse de 300% des volumes depuis cet été, largement négatifs également, il s’agit d’une expression symbolique du mal-être des Français

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Climat : la tech suscite l’espoir des Français

La technologie face au réchauffement du climat : quelle est la position des Français ? Retrouvez la réponse d’Yves CENSI dans son intégralité à l’occasion de la publication du replay sur BFMTV !
 
Confrontée à la menace des changements du climat, l’#innovation est l’un des principaux leviers de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Qu’il s’agisse d’énergie renouvelable, de voitures électriques ou de toutes les formes d’efficacité énergétique, les #technologies à faibles émissions de carbone couvrent un large éventail de secteurs. Celles-ci offrent ainsi plus d’espoir aux populations qui ont confiance en la tech verte pour répondre aux défis de la transition climatique et énergétique.  
 
Comme chaque mois, Mascaret (anciennement Dentsu Consulting) avec ses partenaires ODOXA et Leyton, présentent un baromètre politique analysant l’opinion des Français sur l’un des sujets phares du débat public. Dans cette étude on apprend que les Français attentent beaucoup du monde de l’innovation et de la tech. Pour 72% des interrogés – soit 5% de plus qu’il y a deux ans – des progrès technologiques ont été réalisés. C’est sans aucun doute l’un des sujets les moins polémiques et les moins clivants en France. 

Yves CENSI, Senior Partner Mascaret, Emile Leclerc, directeur d’études chez ODOXA et Alexandre Charles Touret, directeur marketing pour Leyton France, ont abordé le thème « Climat : la tech suscite l’espoir des Français » dans l’émission Tech & Co Business présentée par Frédéric Simottel.
 

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Sens public : l’Exécutif dévisse / Coalition, la France peut-elle s’y mettre ?

Benjamin GRANGE, senior partner de Mascaret (anciennement Dentsu Consulting), était présent sur le plateau de Sens Public de LCP-Assemblée nationale pour présenter les résultats de notre baromètre politique en collaboration avec ODOXA.

Ce mois-ci, nous nous penchons sur les deux principales leçons du sondage : un couple exécutif en difficulté d’un côté, et une poussée du RN et de la NUPES de l’autre. Que retenir de ce mois de juin riche en événements politiques ? Notre classe politique peut-elle apprendre l’art du compromis et de la coalition ? Comment concilier majorités relatives et stabilité politique ?

Toutes ces questions et bien d’autres sont analysées par un panel d’expert venu à Sens Public, dont Gael Sliman, président d’Odoxa, Mathieu Souquière, essayiste, Martin-Genier Patrick et Claire Chartier, journaliste et essayiste. Retrouvez l’ensemble de l’étude sur notre site !

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Pas d’état de grâce pour Emmanuel Macron…

À peine quelques semaines après sa réélection, le sondage d’opinion Odoxa – Mascaret pour Public Sénat révèle un recul de sa côte d’approbation.

En effet, à la même période il y a 4 ans, le président bénéficiait d’un taux de 58%. Au lendemain de sa réélection, une récente enquête d’opinion dévoile que seul 44% des Français estiment qu’Emmanuel Macron est un bon président.
 
Qu’est ce qui explique le recul du président dans les sondages ? Quelles en sont les conséquences ? Par ailleurs, que pensent les Français du gouvernement Borne ? Et que nous apprend le sondage Odoxa-Mascaret sur l’état du paysage politique Français de manière plus globale ?
 
Benjamin GRANGE de Mascaret apporte des éclairages à ces questions au cours de l’émission Sens Public. Étaient également présents sur le plateau :

Mélanie VOGEL, Sénatrice écologiste représentant les Français de l’étranger,
Alexia Germont, Présidente du cercle de réflexion France Audacieuse,
Pablo Pillaud-Vivien, Responsable éditorial de la revue Regards,
Lestrohan Erwan, Directeur conseil à l’institut de sondages ODOXA,
Giulia Foïs, journaliste pour France Inter,
PROKHORIS SABINE, Philosophe et psychanalyste.
L’émission est présentée par Thomas HUGUES.
 
« On voit les signaux faibles d’un mouvant qui monte », note Benjamin Grange, « au tour du mécontentement sur l’état du pouvoir d’achat » tandis qu’Erwan Lestrohan souligne : « Avec ce nouveau gouvernement, les Français attendaient le changement dans la continuité. Là ils voient bien la continuité, mais pas le changement ». La conclusion revient à Mélanie Vogel : « le président Macron n’a pas fixé un cap pour son quinquennat après sa victoire, aujourd’hui les français se demandent que sera le roman nation ces 5 ans ».
 
Alors que la France attend les législatives pour avoir plus de visibilité sur le paysage politique, ce grand moment d’incertitude charrie énormément de questionnement sur l’avenir du pays. 

Retrouvez l’émission intégrale en suivant ce lien !

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Elon Musk achète Twitter ?

Quel serait l’impact de l’acquisition de Twitter par Elon Musk sur la liberté d’expression ? Dans un contexte marqué par des inquiétudes croissantes quant à l’influence des médias sociaux sur la société, le potentiel d’observer, si Elon Musk achète Twitter, si cela peut alimenter d’avantage les débats sur la place qu’occupent les médias sociaux dans le paysage médiatique.
 
Benjamin GRANGE, président de Mascaret (anciennement Dentsu Consulting), Emile Leclerc, directeur d’études chez ODOXA, et Teoman Atamyan, directeur Innovation de Leyton se sont penchés sur le potentiel rachat de Twitter par Elon Musk. Revoyez l’émission 01 Business de BFM Business, présentée par Frédéric Simottel.
 
Voici quelques points saillants de leurs interventions :
 
– Selon Teoman Atayman : « Elon Musk, fort de ses 90 millions abonnés utilise déjà beaucoup cette plateforme pour communiquer. Je suis plutôt d’avis que ce n’est pas pour chercher de la rentabilité pour ses autres business qu’il se propose d’acquérir Twitter. »
 
– Benjamin Grange relève que « les Français sont paradoxalement plus choqués que les américains par le potentiel rachat de Twitter par Elon Musk, alors que la plupart des grands groupes de Média français sont entre les mains de grands capitaines d’industrie. »
 
– Émile Leclerc quant à lui ne manque pas de souligner que : « La loi française est suffisamment sévère en ce qui concerne ce qu’on peut dire dans l’espace public, je pense qu’il y a une éducation à la loi qui doit être faite. »
 
L’importance des médias sociaux en tant qu’outils d’influence, justifie un contrôle plus accru du type de contenus qui peuvent y être diffusés. Ainsi, des questions concernant la responsabilité légale et morale des réseaux de médias sociaux se posent.

 Pour la vidéo complète suivez ce lien.

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Quelle réaction en Europe aux résultats des élections présidentielles françaises ?

Il y a un grand « soulagement » au sein des populations européennes qui redoutaient une victoire de l’extrême droite. Cependant, « la diminution de l’écart entre les votes d’Emmanuel Macron et Marine Le Pen entre 2017 et 2022 est vue à la fois comme le signe d’une menace à long terme et la preuve d’un vote contestataire contre un mandat précédent », analyse Stéphanie Laurent, l’œil des réseaux pour « Vu d’Europe » et Senior Partner chez Mascaret (anciennement Dentsu Consulting).
 
« L’offre politique ne correspond pas aux demandes de plusieurs groupes de français », explique Britta Sandberg, directrice du bureau du DER SPIEGEL à Paris et invitée de l’émission. Samedi 30 avril 2022, elles étaient toutes deux présentes aux côtés de Richard Werly, correspondant de Blick à Paris, et Annick Capelle, Responsable éditoriale du pôle Europe à la RTBF, pour décrypter l’actualité post-(re)élection.

Nous dirigeons nous vers une victoire de l’extrême droite dans 5 ans ?

« C’est une victoire du projet européen qui s’est produite dimanche 24 avril 2022. » Malgré cela, certains pensent que le pire n’a pas encore été totalement évité. Nous dirigeons nous vers une victoire de l’extrême droite dans 5 ans ? Selon Richard Werly, l’œil de la Suisse sur ce plateau, la réélection d’Emmanuel Marcon n’a pas surpris les helvètes et les scores obtenus ne sont que la preuve de l’un des plus importants défis du président : la grande fracture sociale qui traverse le pays. Les Français ont l’impression de vivre moins bien que leurs voisins européens, pourtant, sur certains points, la France s’en sort mieux ! C’est le cas des pensions de retraite qui sont plus élevées qu’en Allemagne, mais ne sont pas ressenties comme tel. La question du pouvoir d’achat, accentuée par le déséquilibre économique régional, exacerbent ce sentiment de précarité faisant l’unanimité chez la grande majorité des Français.
 
Il n’y a pas que les sujets économiques qui conduisent les grands enjeux de ce second mandat. L’éducation, le système scolaire et ses disparités, la valorisation de l’apprentissage professionnel, la charge sociale, ainsi que les salaires des enseignants sont des points sur lesquels le Président de la République est très attendu.
 
Pour pouvoir suivre l’intégralité du décryptage des enjeux de cette élection vus par les européens, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.

https://www.dailymotion.com/video/x8ag8ep
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L’Europe observe le second tour

Jusqu’où nous mènera le « Tout sauf Macron »..? Voilà ce que pensent nos voisins d’Europe lorsqu’ils observent la campagne pour le second tour des présidentielles 2022.

Les 🇩🇪 Allemands 🇩🇪 « voient un programme d’extrême droite […] où Marine Le Pen tape fort. Ils sont étonnés de voir que les Français peuvent élire quelqu’un qui tape plus fort sur l’Allemagne que sur la Russie. », nous explique Nadia Pantel, correspondante de la Süddeutsche Zeitung et invitée, ce vendredi 16 avril 2022, de l’émission Vu D’Europe pour LCP. Elle était accompagnée de Richard Werly, correspondant pour Le Temps à Paris, Alex Taylor, journaliste européen, et Benjamin Grange, Président de Mascaret.

Vu d’Europe : en France il s’agit de tout donner à un ou une présidente.

Vu de 🇨🇭 Suisse 🇨🇭, « ce n’est pas surprenant de voir que 30% des électeurs français se prononcent pour ce camp politique [l’extrême droite]. La vraie surprise c’est au fond le système politique français qui, à un moment donné, peut basculer. En Allemagne, en Suisse – des régimes parlementaires – ce sont des systèmes de coalition. En France il s’agit de tout donner à un ou une présidente. On s’interroge quand même : est-ce que les Français sont capables d’aller jusque-là ? C’est à dire de remettre les clés de la maison France à une candidate d’extrême droite ? »

Que ce soit sur le continent ou en dehors, les perceptions et avis sont semblables. Les résultats de ce second tour questionnent et inquiètent en masse. Ils sont nombreux à avoir l’impression de vivre un « déjà vu » et à espérer que le scénario soit le même qu’il y a 5 ans. On reproche à Emmanuel Macron de n’avoir finalement pas su réconcilier les « deux France », et aux médias de ne faire qu’une présentation superficielle de la candidate d’extrême droite, qui pour la première fois possède une grande réserve de votes – fruits de 5 ans d’attente.

(Re)découvrez l’intégralité de l’émission en suivant ce lien, vous y retrouverez les analyses de Mascaret sur le sujet.

https://www.dailymotion.com/video/x8a18u2
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Top influenceurs tech

Le temps est aux élections et à la politique, mais cette atmosphère peut se révéler pesante. Nous vous proposons une parenthèse de répit avec le top 10 des influenceurs tech, divertissement et gaming ! Réalisé en partenariat par Mascaret et Challenge.

Squeezie, Inoxtag, Antoine Daniel ou Amixem… vous les connaissez peut-être déjà, ce sont les stars des réseaux. Le premier cumule, à lui seul, plus de 40 000 000 d’abonnés sur ses différentes plateformes ! « Youtube a vraiment explosé en 2011 et 2012. Moi, j’ai explosé mon compte en banque pour acheter de quoi faire des vidéos », se souvient-il en éclatant de rire. Dix ans plus tard, Squeezie possède sa propre marque de vêtements, YOKO, monte son agence de communication, bump., avec une partie des talents du groupe Webedia et représente aujourd’hui la marque de smartphones Vivo en France.

Si les influenceurs tech ne sont pas reste, qu’il s’agisse de WarTek ou Johan « Jojol » Lelièvre et leurs conseils précieux, ce sont les streamers qui ont la part belle dans ce classement. On retrouve les plus grands noms : le célèbre Adrien « Zerator » Nougaret dont le Z Event a levé, en octobre dernier, plus de 10 000 000 d’euros pour Action Contre La Faim ; P-A « Domingo » Bizot qui présente d’une main de maître son émission légendaire « Popcorn » ; Corentin « Gotaga » Houssein, le e-sportif le plus connu de France ; Xavier « MisterMV » Dang, qui participe ces jours-ci aux jeux de rôle politiques de Fibre Tigre !

Retrouvez les détails de notre enquête en cliquant sur ce lien.

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Top influenceurs politique

Dimanche 10 avril 22, les Français se sont déplacés dans les différents centres de votes pour décider de qui devrait parvenir à la tête de l’État, dont près de 5 millions de 18-24 ans. Quels sont leurs influenceurs politique ?

Une spécificité s’est dessinée lors de ce premier tour

La mobilisation et la participation des jeunes. Et ceci, malgré le taux d’abstention supérieur à 2017 (1er tour : 22,2% en 2017, contre 25,14% en 2022). Lorsque, fin mars, le magazine Challenges et Mascaret révélaient un classement des 10 meilleurs influenceurs politique de l’année, une majorité d’entre eux étaient issus des nouvelles générations et trustaient les plateformes numériques. Ils y analysent l’actualité politique, touchant subséquemment une tranche nouvelle, plus jeune et habituellement peu sensible à certaines thématiques.

Le rôle des influenceurs politique

C’est le cas du jeune journaliste Hugo Travers qui, à 24 an à peine, tient une chaine YouTube – Hugo Décrypte – qui dépasse les 4 500 000 d’abonnés.  Il s’était déjà fait remarquer durant les présidentielles de 2017 en interviewant les candidats. Depuis, sa notoriété et sa légitimité auprès des Français n’a cessé de s’accroitre, faisant de lui le plus jeune visage du traitement libre de l’actualité nationale et internationale.

On retrouve également dans ce classement Tatiana Ventôse qui reprend les codes des réseaux sociaux pour informer ses presque 300 000 abonnés sur YouTube et Instagram, l’excellent Clément Viktorovitch, politologue, journaliste, rôliste et expert en rhétorique qui occupe la quatrième place du classement, Pascal Boniface, célèbre directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (l’IRIS) et son école (IRIS SUP’), ou encore Jean Massie et Usul de Mediapart dans l’émission Backseat, etc.

Jeunesse et politique ne sont plus des termes qui s’opposent.

La jeunesse occupe une importante place sur la scène du débat politique en France, une place qu’elle n’a pas attendue. Pour la majorité, ce succès est le fruit d’opportunités saisies grâce aux outils de communication numérique. On a longtemps considéré la « jeune génération » comme apolitique, mais le paradigme actuel expose l’obsolescence de telles idées. Jeunesse et politique ne sont plus des termes qui s’opposent.
 
Il est donc judicieux d’observer l’impact de ce nouvel engagement des jeunes sur la suite des élections présidentielles. Va-t-on assister à une baisse de leur participation quand on sait que leur candidat favori, Jean-Luc Mélenchon, ne sera pas au second tour ? Celui-ci a obtenu plus de 30% des moins de 35 ans, quant à l’inverse, l’électorat âgé d’au moins 60 ans s’est surtout porté sur Emmanuel Macron. Sommes-nous face à un réel conflit intergénérationnel ? Le rôle des influenceurs politiques sera clef à l’avenir.

Retrouvez les détails de notre enquête en cliquant sur ce lien.

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