Mascaret lance une offre dédiée aux entreprises du SBF120 permettant de mesurer leur engagement dans l’IA au travers de deux indicateurs : AI Adopter et AI Social Responsability

Mascaret lance une offre dédiée aux entreprises du SBF120 permettant de mesurer leur engagement dans l’IA au travers de deux indicateurs : AI Adopter et AI Social Responsability

L’irruption récente de ChatGPT sur la scène médiatique, le point de vue de Bill Gates considérant ChatGPT et plus généralement les AGI (Artificial General Intelligence) comme la seconde révolution digitale après Windows, la note remarquée d’une grande banque d’investissement (1) évaluant à 300 millions le nombre d’emplois susceptibles d’être affectés par les IA génératives à l’échelle de la planète, actent le démarrage d’une nouvelle ère de recherche de gains de productivité semblable à celle des années 2000 et l’adoption à marche forcée des ERP (Enterprise Resource Planning) par les grandes et moyennes entreprises.

Selon une étude récente (2) 70% des directions Marketing, sur un panel de 200 entreprises interrogées en Europe, aux US et en Asie, déclarent une initiative d’IA générative en cours, avec une tendance à l’accélération. L’inaction n’est pas une option : un des messages forts de l’étude. Tout comme les ERP et peut être encore plus que ces derniers, le déploiement à grande échelle des IA aura une portée organisationnelle avec de fortes conséquences sociales prévisibles.

Dans ce contexte les entreprises doivent attacher la plus grande importance aux communications associées à ces initiatives vis-à-vis de leurs parties prenantes : marchés et analystes financiers, grand public, organismes politiques et syndicaux, leaders d’opinion, etc.

Le dilemme qu’elles vont devoir gérer au plus fin :

  • Être perçue par les marchés et analystes financiers comme engagée et même pionnière par rapport à ces nouveaux leviers de productivité (la qualité des projets / use case IA sur lesquels elle vont communiquer sera déterminante),
  • Être perçue par le grand public, les organismes syndicaux et les leaders d’opinion comme fidèles à leurs engagements RSE dans le choix et l’exécution de leurs projets IA.

L’offre de Mascaret consiste à accompagner les entreprises dans la construction et la maîtrise de leur communication en matière d’engagement IA :

  • Identifier au sein de l’entreprise les initiatives et use case – parmi la centaine d’ores et déjà documentée à l’échelle internationale – pour lesquels une communication est pertinente, voire souhaitable.
  • Assister l’entreprise dans le choix des narratifs et médias de communication.
  • Mesurer à intervalles réguliers les indicateurs « AI Adopter » et « AI social Responsability » de l’Entreprise. Interpréter les évolutions.

Cette offre est portée par Reza SADRI, Senior Partner du cabinet Mascaret en charge de la practice technologies innovantes, ancien directeur de l’offre DDB Matrix et l’un des co-fondateurs de la société Ekimetrics en 2006.


À propos de Mascaret           
Créé en 2016 sous le nom Dentsu Consulting, Mascaret est aujourd’hui le cabinet leader dans la communication d’affaires en France. Mascaret développe la valeur économique de l’entreprise, son expression et sa perception par les parties-prenantes (investisseurs, marché, collaborateurs, sociétés civiles et pouvoirs publics) dans les moments charnières : acquisition, fusion, exit, levée de fonds A/B/C/D, LBO, joint-venture, opération sur titre, refinancement, évolution de gouvernance, plan de transformation, nouveau dirigeant, changement de cap, crise économique. Pour les leaders publics et les élus, ce sont les échéances électorales clés que nous accompagnons. Les équipes de Mascaret interviennent en France et dans 44 pays au travers de du réseau IPRN


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69% des Français interrogés pensent que l’IA va révolutionner notre quotidien.

Mascaret (anciennement Dentsu Consulting) et son partenaire ODOXA vous proposent un baromètre de l’innovation pour mieux comprendre le rapport des Français à l’intelligence artificielle.

C’est la recherche et la santé qui constituent les principales attentes des Français à l’égard de l’IA. Les deux domaines, complémentaires, sont perçus comme nécessaires au développement des sociétés. Rappelons que le domaine de la santé a fait l’objet de plusieurs débats durant la pandémie de la Covid-19. L’avènement de l’IA au lendemain d’une crise sanitaire pourrait alimenter les espoirs quant à des réformes rendues possibles par cette technologie.  
 
La course à l’IA intéresse aujourd’hui le grand public. Cependant, une défiance demeure : parmi les personnes interrogées, 64% confient ne pas faire confiance et ne pas croire en l’éthique des contenus créés par l’IA. Pourtant, ceux-ci estiment nécessaire l’encadrement de cette nouvelle technologie et soutiennent cette volonté de l’UE.  

Une question est récurrente néanmoins : pourquoi l’IA est un sujet qui a explosé au cours de l’année 2023 ?  

L’IA est devenue le sujet star de la tech. Elle est de plus en plus évoquée : moins de 5 000 mentions par jour en 2022 contre 10 000 en moyenne aujourd’hui. Ses pics médiatiques sont aussi quatre fois plus élevés que ceux de l’année dernière.  
 
La popularisation de l’IA n’a pas été portée par des experts, mais par des « sujets récurrents porteurs auprès du grand public ». Ce sont notamment des modèles de langages comme ChatGPT qui ont contribué à la démocratisation de cette technologie, proposant des applications accessibles à tous. Mais aussi, la popularisation de l’IA a été portée par des influenceurs qui s’en ont saisi, en priorité sur TikTok et YouTube !
 
D’après notre analyse de l’opinion publique et des réseaux sociaux, l’IA est le plus souvent associée au travail ! Les questions récurrentes interrogent sur la substituabilité de l’Homme par la machine et le risque que présente l’IA pour nos emplois.  

Pour une analyse encore plus détaillée, retrouvez l’intégralité du baromètre ci-dessous !

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Sur les réseaux sociaux, l’éventualité d’être bloqué par le gouvernement ne passe pas !

Les événements récents nous ont montré à quel point les réseaux sociaux jouent un rôle majeur dans la diffusion de l’information, pour le meilleur comme pour le pire. Notre expertise en étude de l‘opinion – notamment en ligne – nous permet de vous partager quelques points et dynamiques qui nous semblent importants à noter :

– Un personnel politique en difficulté. Le Président Emmanuel Macron, qui profitait jusque-là de l’accalmie post-retraites, retrouve un volume de présence (pic de 370 000 mentions le 30 juin) et un sentiment négatif (75%) similaires aux taux d’avril. Du côté des opposants, toute l’attention s’est portée sur Jean-Luc Mélenchon. Il atteint des niveaux de mention presque égaux à ceux de l’élection de 2022, et bien supérieurs à la réforme des retraites. Marine Le Pen, elle, est beaucoup plus discrète et maintient une présence parfaitement stable. Cependant, aucun des deux n’a vu de modification significative de son sentiment !


– Des indicateurs faibles sont également à relever. Par exemple, le champ lexical qui entourait les événements : par rapport aux termes « manifestation* » ou même « révolte* » qui ont été utilisés pour décrire l’opposition à la réforme des retraites, « émeute* » a emporté la bataille sémantique pour les événements de juin. L’opinion a par ailleurs très clairement fait une chute rapide au sujet des émeutes, culminant le 30 juin à 80% de sentiment négatif. Record battu – avec 90% de contenus négatifs – par la proposition du PR de « couper les réseaux sociaux » : les utilisateurs de tous bords n’ont que très peu apprécié et la première réaction a largement été d’assimiler ce type d’action à celles d’un régime autoritaire…

N’hésitez pas à nous partager vos réflexions, remarques et avis sur ces sujets !

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